Les confitures de Noël, tradition et créativité
17
Janvier 2018
Les rues et les maisons illuminées, le sapin, le gui et le houx, le repas familial, le Père Noël et les cadeaux pour les enfants sages… Noël est un moment magique pour les petits comme pour les grands. Il ravive les émotions et les saveurs de l’enfance. Cette fête évoque aussi les fruits de tous les pays, les friandises… et les confitures de Noël d’Andrésy, inspirées des traditions françaises.
Noël a ses fruits
En fin d’année, les étals de fruits des magasins se parent de couleurs vives. Certains produits sont récoltés en France, comme les pommes, les poires, les clémentines, les figues de Soliès. D’autres viennent de plus loin, comme le raisin, les agrumes, les ananas, les fruits de la passion, les bananes, les grenades et autres kakis, kiwis et litchis. Invités à nos desserts et dans nos recettes de plats salés-sucrés, ils font partie de l’univers de Noël et des fêtes.
Parmi eux, l’orange a longtemps tenu une place particulière. Considérée comme un cadeau rare et précieux, elle s’offrait à Noël jusque dans les années 1950. Piquée de clous de girofle, on la baptisait Pomme d’ambre et nos grands-mères l’utilisaient pour parfumer une pièce ou éloigner les mites des armoires.
Les 13 desserts de Provence
Depuis plus de soixante ans, Andrésy Confitures travaille avec des producteurs fruitiers de toute la France. Pour imaginer ses recettes, elle s’inspire des produits, des traditions culinaires et des goûts de chaque territoire. Les treize desserts de Provence, servis le soir du réveillon, ont influencé l’une de ses confitures de Noël. Bien que la composition de ce plateau de desserts varie d’une région, d’un village ou même d’un foyer à l’autre, la base en est la même. Il s’agit des “quatre mendiants” (pachichòis), figues sèches, amandes, noix (ou noisettes) et raisin sec. On dit qu’ils représentent les quatre ordres religieux qui avaient fait vœu de pauvreté. Puis viennent, au choix, les pommes, poires, melon vert, nougat noir et nougat blanc, fruits confits, calissons, oreillettes, dattes, eau de coing, châtaignes au vin cuit, pompe à huile (gâteau parfumé à la fleur d’oranger), fougasse, oreillettes, biscuits et sucreries, et parfois du fromage.
« Les confitures de Noël d’Andrésy, un petit goût de l’enfance«
Deux spécialités de confitures de Noël Andrésy
Pour Andrésy Confitures, créer une recette de Noël c’est repasser par les chemins de l’enfance. C’est retrouver le souvenir des odeurs et des saveurs, des hivers où l’on avait envie de se faire dorloter, des repas autour de la table familiale. C’est se retremper dans la tradition tout en laissant parler la créativité.
C’est ainsi que sont nées deux recettes de confitures de Noël. La première, inspirée librement des 13 desserts de Provence, est composée d’abricot, d’orange douce, de noisettes, de pistache et de noix. La seconde, à laquelle peu de gourmets peuvent résister, mêle la douceur de la châtaigne et l’acidulé de la clémentine.
On les trouve dans les épiceries fines.
Des recettes épicées pour l’hiver
La saison des fêtes offre de nombreuses manières de se régaler autour du petit déjeuner ou du goûter en famille. La confiture de figues de Soliès, fruits secs, épicée de laurier ou thym, se consomme en confiture ou en confit.
Il serait dommage de ne pas goûter la confiture “Oranges, amandes effilées et épices” de la collection Les Petites Parisiennes.
Parmi ses centaines de recettes, Andrésy Confitures a imaginé des délices à partir du citron, des fruits secs utilisés comme ingrédients ou crèmes, comme “l’Amande à l’orange” ou la “Crème de datte” qui se dégustent avec des glaces et des gâteaux.
La créativité s’accompagne toujours de l’exigence d’un grand fabricant français : des fruits de qualité, des textures et des saveurs harmonieuses et la cuisson en petites quantités, en bassines de cuivre.